Addressing controversial areas in the management of advanced prostate cancer in Canada
Areas of consensus and controversy from the third Canadian consensus forum
DOI :
https://doi.org/10.5489/cuaj.8537Mots-clés :
Advanced prostate cancer, consensus statement, treatment, managementRésumé
INTRODUCTION: The management of prostate cancer (PCa) is rapidly evolving. Treatment and diagnostic options grow annually, however, high-level evidence for the use of new therapeutics and diagnostics is lacking. In November 2022, the Genitourinary Research Consortium held its 3rd Canadian Consensus Forum (CCF3) to provide guidance on key controversial areas for management of PCa.
METHODS: A steering committee of eight multidisciplinary physicians identified topics for discussion and adapted questions from the Advanced Prostate Cancer Consensus Conference 2022 for CCF3. Questions focused on management of metastatic castration-sensitive prostate cancer (mCSPC); use of novel imaging, germline testing, and genomic profiling; and areas of non-consensus from CCF2. Fifty-eight questions were voted on during a live forum, with threshold for “consensus agreement” set at 75%.
RESULTS: The voting panel consisted of 26 physicians: 13 urologists/uro-oncologists, nine medical oncologists, and four radiation oncologists. Consensus was reached for 32 of 58 questions (one ad-hoc). Consensus was seen in the use of local treatment, to not use metastasis-directed therapy for low-volume mCSPC, and to use triplet therapy for synchronous high-volume mCSPC (low prostate-specific antigen). Consensus was also reached on sufficiency of conventional imaging to manage disease, use of germline testing and genomic profiling for metastatic disease, and poly (ADP-ribose) polymerase (PARP) inhibitors for BRCA-positive prostate cancer.
CONCLUSIONS: CCF3 identified consensus agreement and provides guidance on >30 practice scenarios related to management of PCa and nine areas of controversy, which represent opportunities for research and education to improve patient care. Consensus initiatives provide valuable guidance on areas of controversy as clinicians await high-level evidence.
Téléchargements
Téléchargements
Publié-e
Comment citer
Numéro
Rubrique
Licence
Les auteurs accordent les droits d’auteurs liés à l’article et son contenu à l’Association des urologues du Canada. Cette entente signifie que vous ne pouvez pas faire ce qui suit, sans d’abord obtenir l’autorisation écrite de l’AUC :
- Afficher l’article sur tout site Web.
- Traduire ou autoriser une tierce partie à traduire l’article.
- Copier ou reproduire l’article par quelque moyen que ce soit et sous tout format que ce soit, ou autoriser d’autres à le faire, au-delà de ce qui est permis par la loi canadienne du droit d’auteur.
- Copier ou reproduire des sections de l’article, y compris les tableaux et figures, par quelque moyen que ce soit, ou autoriser d’autres à le faire, au-delà de ce qui est permis par la loi canadienne du droit d’auteur.
L’AUC encourage l’usage des articles à des fins éducatives sans but commercial et ne refusera pas sans motif raisonnable toute demande d’autorisation à cet effet.
Vous conservez le droit moral lié à l’article et son contenu. Cela signifie que l’AUC ne peut utiliser ses droits d’auteurs d’une manière telle que cela pourrait avoir des répercussions négatives sur votre réputation ou sur votre droit à être associé à l’article.
L’AUC exige également que vous garantissiez ce qui suit :
- Vous êtes l’auteur ou les auteurs et seul(s) propriétaire(s) du contenu, le contenu de l’article est original et n’a jamais été publié et vous n’en avez pas déjà cédé les droits d’auteurs ni accordé de licence concernant son contenu à toute autre tierce partie;
- Toutes les personnes qui ont contribué de manière considérable à la rédaction de l’article sont mentionnées;
- L’article ne viole aucun droit de propriété de toute tierce partie, et vous avez obtenu les autorisations requises pour inclure les travaux d’autres personnes dans cet article; et
- L’article ne diffame aucune tierce partie ni ne viole les droits à la vie privée de toute tierce partie.