A rapid PSA half-life following docetaxel chemotherapy is associated with improved survival in hormone refractory prostate cancer

Authors

  • Mikael Hanninen From the Department of Internal Medicine, University of Alberta, Edmonton, AB
  • Peter Venner Division Director, Medical Oncology, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB
  • Scott North Department of Medicine, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB

DOI:

https://doi.org/10.5489/cuaj.1145

Abstract

Introduction: Docetaxel chemotherapy prolongs survival in metastatic
hormone-refractory prostate cancer (mHRPC), but many patients
fail to respond to this therapy and there is potential for serious
toxicity. Patients differ in their percent prostate-specific antigen
(PSA) decline and rate of PSA decline following treatment. We
propose that patients who achieve a rapid rate of PSA decline,
measured as a shorter PSA half-life (PSAHL), may experience a
longer overall survival (OS) than those who achieve a slower rate
of PSA decline.

Methods: A chart review of patients treated with docetaxel for
mHRPC in Alberta from January 2000 to May 2006 was performed.
At 42 days (after 2 cycles) and 84 days (after 4 cycles) following
chemotherapy, PSA response and PSAHL were determined. PSAHL
could only be determined in patients with a PSA drop from baseline.
Optimal PSAHL values for OS stratification were determined
using the log-rank chi-square statistic. Survival analysis was carried
out using Kaplan-Meier curves and regression analysis.

Results: There were 154 patients who fulfilled the inclusion criteria.
Using 42-day postdocetaxel data, no associations with OS
could be demonstrated. Using 84-day postdocetaxel data, patients
stratified by PSAHL demonstrated a significant difference in OS
(15 months vs. 25 months) and this relationship remained following
multivariate analysis (hazard ratio 0.08 [0.021-0.34]).

Conclusion: A more rapid rate of PSA decline (PSAHL <70 days)
measured after 4 cycles of chemotherapy was associated with a
longer OS. This result was independent of other known markers
of survival and allowed for a greater survival differentiation than
PSA response.

Introduction : La chimiothérapie par docetaxel prolonge la survie
dans les cas de cancer métastatique de la prostate réfractaire aux
traitements hormonaux, mais de nombreux patients ne répondent
pas à cette chimiothérapie qui, par ailleurs, est associée à un risque
de toxicité grave. Après ce traitement, le pourcentage de baisse
du taux d’antigène prostatique spécifique (APS) et la vitesse de
réduction des taux d’APS diffèrent d’un patient à l’autre. Nous
avançons l’hypothèse que les patients qui présentent une baisse
rapide des taux d’APS, se manifestant par une réduction de la demivie
de l’APS, peuvent présenter une survie globale (SG) plus longue
que les patients présentant une baisse plus lente des taux d’APS.

Méthodologie : Nous avons procédé à un examen des dossiers de
patients traités par le docetaxel en raison d’un cancer métastatique
de la prostate réfractaire aux traitements hormonaux en Alberta
entre janvier 2000 et mai 2006. Aux 42e (après 2 cycles) et 84e
jours (après 4 cycles) de chimiothérapie, on a vérifié la réponse
en fonction des taux d’APS et de la demi-vie de l’APS. La demivie
de l’APS ne pouvait être mesurée que chez les patients ayant
affiché une baisse des taux d’APS par rapport aux taux initiaux.
Les valeurs optimales de la demi-vie de l’APS utilisées pour la
stratification des patients en vue de l’évaluation de la SG ont été
cernées à l’aide d’une méthode statistique reposant sur le test de
Mantel-Haenzel. L’analyse des taux de survie a été effectuée à
l’aide de courbes de Kaplan-Meier et d’une analyse de régression.

Résultats : Cent cinquante-quatre (154) patients satisfaisaient aux
critères d’inclusion. Selon les données recueillies après 42 jours
de traitement par docetaxel, aucune corrélation avec la SG n’a
pu être démontrée. Selon les données recueillies après 84 jours
de traitement par docetaxel, les patients stratifiés en fonction de
leur demi-vie de l’APS ont montré une différence significative
quant à la survie globale (15 mois vs 25 mois), et cette corrélation
a aussi été observée lors de l’analyse multivariée (RR 0,08
[0,021 à 0,34]).

Conclusion : Une chute plus rapide des taux d’APS (demi-vie de
l’APS < 70 jours) mesurée après 4 cycles de chimiothérapie a été
associée à une survie globale plus longue. Ce résultat s’est révélé
indépendant des autres marqueurs connus de la survie et permet -
tait une meilleure différenciation que la réponse de l’APS sur le
plan de la survie.

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Author Biographies

Mikael Hanninen, From the Department of Internal Medicine, University of Alberta, Edmonton, AB

Peter Venner, Division Director, Medical Oncology, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB

Scott North, Department of Medicine, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB

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How to Cite

Hanninen, M., Venner, P., & North, S. (2013). A rapid PSA half-life following docetaxel chemotherapy is associated with improved survival in hormone refractory prostate cancer. Canadian Urological Association Journal, 3(5), 369–74. https://doi.org/10.5489/cuaj.1145

Issue

Section

Original Research