Laparoscopic partial nephrectomy: the University of Saskatchewan (Regina division) experience

Authors

  • Andrew Tse Health Sciences Student, McMaster University, Hamilton, ON
  • Russel Knaus Associate Clinical Professor, Department of Surgery, University of Saskatchewan, Saskatoon, Sask.
  • Edward Tse Clinical Professor, Department of Surgery, University of Saskatchewan, Saskatoon, Sask.

DOI:

https://doi.org/10.5489/cuaj.1037

Abstract

Purpose: Open partial nephrectomy (OPN) is now the preferred
treatment for most T1a and selected T1b tumours. Laparoscopic
partial nephrectomy (LPN), created to reduce the morbidity associated
with OPN, is now a viable option when performed by experienced
laparoscopic surgeons. We retrospectively review our
LPN experience and propose a new parameter, the LPN utilization
rate (LPN-UR), defined as the probability of any referred
patient with a T1 tumour undergoing LPN before the surgeon’s
knowledge of its imaging characteristics, to define the role of LPN
at our institution.

Methods: Between March 2003 and August 2008, 47 consecutive
patients underwent LPN for T1 tumours. All patients underwent
transient en bloc vascular occlusion of the renal hilum for
cold-scissor tumour excisions. Preoperative, intraoperative, postoperative
and pathological data were collected. The LPN-URs for
2005, 2006, 2007 and 2008 were calculated.

Results: There were 31 nonhilar tumours and 16 hilar tumours. All
procedures were completed laparoscopically. Mean tumour size was
3.8 (range 1.5–7.2) cm. Mean operating time was 2.8 (range 1.2–4.5)
hours. Mean hospital stay was 5.2 (range 2.0–15.0) days. Mean warm
ischemic time (WIT) was 32.7 (range 14.2–50.4) minutes. Six patients
(12.8%) received blood transfusions and 1 patient required an emergency
nephrectomy for bleeding. One patient developed urinary
leakage. One patient developed a late calyceal stricture. Mean postoperative
differential renal function was 35%:50%. Median follow-
up was 18 months. Pathological examination of all tumours
revealed 38/47 (80.9%) malignant tumours with 2 positive surgical
margins (4.3%). The LPN-URs for 2005, 2006, 2007 and 2008
were 50%, 54%, 63% and 93%, respectively, for all T1 tumours.

Conclusion: Laparoscopic partial nephrectomy can be safely performed
and used for treatment of most T1 tumours referred to our
institution. Long-term follow-up will be required to determine the
oncological efficacy of LPN. Every effort should be made to further
reduce the WIT. The LPN-UR is a useful parameter for consulting
referring physicians and patients.

Objectif : La néphrectomie partielle ouverte (NPO) constitue
actuellement le traitement de choix pour la plupart des cas de
tumeurs T1a et de certaines tumeurs T1b. La néphrectomie partielle
laparoscopique (NPL), technique développée pour réduire
la morbidité associée à la NPO, représente maintenant une option
intéressante pour les chirurgiens expérimentés en laparoscopie.
Nous avons fait une analyse rétrospective de notre expérience
avec la NPL et nous proposons un nouveau paramètre — le taux
d’utilisation de la NPL (TU-NPL) — afin de mieux définir le rôle
de cette technique dans notre établissement.

Méthodologie : Entre mars 2003 et août 2008, 47 patients consécutifs
ont subi une NPL pour traiter une tumeur T1. Tous les patients
ont subi un clampage temporaire en bloc des vaisseaux rénaux
au niveau du hile en vue d’une excision tumorale à froid par
ciseaux. Des données opératoires et pathologiques ont été recueillies
avant, pendant et après l’intervention. Les TU-NPL pour 2005,
2006, 2007 et 2008 ont été calculés.

Résultats : On a relevé 31 tumeurs non hilaires et 16 tumeurs
hilaires. Toutes les interventions ont été effectuées par laparoscopie.
La taille moyenne des tumeurs était de 3,8 (écart : 1,5 à
7,2) cm. Le temps moyen passé en salle d’opération était de 2,8
(écart : 1,2 à 4,5) heures. La durée moyenne de l’hospitalisation
était de 5,2 (écart : 2,0 à 15,0) jours. La durée moyenne de l’ischémie
chaude était de 32,7 (écart : 14,2 à 50,4) min. Six patients
(12,8 %) ont reçu des transfusions sanguines et un patient a dû
subir une néphrectomie d’urgence en raison d’une hémorragie.
Un patient a présenté une incontinence urinaire et un autre, une
sténose tardive au niveau des calices. La fonction rénale différentielle
moyenne après l’opération était de 35 % : 50 %. La durée
médiane du suivi était de 18 mois. L’analyse pathologique a révélé
que 38 tumeurs sur 47 (80,9 %) étaient malignes; 2 tumeurs (4,3 %)
présentaient des marges chirurgicales positives. Les TU-NPL pour
2005, 2006, 2007 et 2008 étaient respectivement de 50 %, 54 %,
63 % et 93 % pour les tumeurs T1.

Conclusion : La NPL peut être effectuée sans danger et utilisée pour
le traitement de la plupart des cas de tumeurs T1 traités par notre
établissement. Un suivi à long terme est nécessaire pour déterminer
l’efficacité oncologique de la NPL. Tous les efforts doivent
être déployés pour réduire davantage la durée de l’ischémie
chaude. Le TU-NPL est un paramètre de consultation utile pour
les médecins et les patients.

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Author Biographies

Andrew Tse, Health Sciences Student, McMaster University, Hamilton, ON

Russel Knaus, Associate Clinical Professor, Department of Surgery, University of Saskatchewan, Saskatoon, Sask.

Edward Tse, Clinical Professor, Department of Surgery, University of Saskatchewan, Saskatoon, Sask.

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How to Cite

Tse, A., Knaus, R., & Tse, E. (2013). Laparoscopic partial nephrectomy: the University of Saskatchewan (Regina division) experience. Canadian Urological Association Journal, 3(2), 111–18. https://doi.org/10.5489/cuaj.1037

Issue

Section

Original Research